© Aurelie

FORKS; nous sommes en 2005 c'est une nouvelle année commence.

« Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m’en mêlerai plus. Ce sera comme si je n’avais jamais existé. »

Edward à prit sa décision, il ne reviendra pas tel était ses mots, « Ce sera comme si je n’avais jamais existé. », Bien décidé à abandonner celle qui l’aime pour son bien, Edward part avec les siens, laissant seule son unique amour, pensant ainsi qu’Isabella Swan pourrait vivre une vie normale.


Quatre mois après le départ d’Edward...
« Le temps passe. Y compris quand cela semble impossible. Y compris quand chaque tic-tac de la grande aiguille est aussi douloureux que les pulsations du sang sous un hématome. Il s’écoule de manière inégale, rythmé par des embardées étranges et des répits soporifiques, mais il passe. Même pour moi. »


Six mois après le départ d’Edward…
Jacob, mon Jacob celui qui m’a fait sortir de cet enfer impossible, celui qui m’a redonnée la force de sourire sans pour autant me forcer. Mon cher journal si tu savais, je me remets à écrire pour la simple cause que je vois de moins en moins mon Jacob et qu’il me manque. Il à trouvé sa moitié du coup on a plus vraiment de temps à nous, ce bon temps que l’on passait ensemble à rire. D’un côté je comprends qu’il préfère rester avec Alexis, elle est magnifique, c’est quelqu’un de merveilleux pour Jack et elle sourit tout le temps contrairement à moi. Enfin qu’elle importance je viens de recevoir une bourse pour aller à Dartmouth. Alors on ne se verra plus mon cher journal, mais ne t’inquiète pas je crois que je redeviens une coquille vide, et une coquille vide ne proteste pas..


Sept mois après le départ d’Edward…
Comme tous les soirs je rentrais de la boutique des Newton, ils m’avaient gardée en tant que vendeuse même si depuis trois petits mois je ressemblais à un zombie. La plaie béante à l’intérieur de mon cœur se refermait peu à peu mais elle se montrait toujours présente dans mes moments de faiblesse. Sauf que ce soir là serait différent des autres, cette soirée changerait toute ma vie. Tout d’abord à mon arrivée, la maison était vide chose inhabituelle, aucune trace de Charlie, enfin il devait travailler plus tard, de toute façon j’avais des tas de chose à faire. Seulement la soirée ne se déroula pas comme je l’avais prévue. Une main froide se colla près de ma bouche afin de m’obliger à me taire, et l’autre m’emprisonna les deux bras, à sa force et sa froideur je sus de suite que ce n’était pas Charlie mais bel et bien un vampire, je tournais légèrement la tête vers la droite pour apercevoir une cascade de boucle rousse tomber sur mes épaules. Victoria. Mon cœur eut un raté, celle-ci ne put s’empêcher de me murmurer à l’oreille que c’était ma fin après tout n’étais ce pas ce que j’avais souhaitée depuis le départ d’Edward ? ...


Un mois après la transformation d’Isabella Swan en vampire…
Souffrance, ses crocs plantés dans mon cou, le feu me dévorant et moi m’échappant dans la forêt, me retrouvant dans cette clairière, sa clairière, celle d’Edward. Maintenant j’étais comme lui. Tout est tellement différent lorsque l’on est un vampire, je pensais à ma famille à mes amis. Victoria m’avait laissée le droit d’écrire un mot bien sur je ne pouvais rien dire, enfin on ne déballe pas comme ça sur du papier, papa je suis un vampire mais ne t’en fait pas tout ira bien, alors que c’est faux n’est ce pas ? Je me suis réveillée dans une maison étrange que je ne connaissais pas j'y est vécue le temps qu'il fallait pour m'habituer et assumer ce que j'étais. Ensuite je suis retournée chez moi j'ai retrouvée mon meilleur ami, Jacob qui même après ma transformation a continué de m'aimer comme une petite soeur. Il m'arrive de retourner au lycée une à deux fois par semaine mais c'est rare, le reste du temps je le passe chez moi ou chez Jacob même si je dois avouer que parfois il m'arrive d'aller dans l'ancienne maison des Cullen...


Un mois après la mort de mon seul et unique amour…
C’est fini, pourquoi est ce que je suis partis, j’aurais du m’en douter qu’elle ne survivrait pas sans moi comme moi sans elle. Qu’est ce que j’ai bien put faire de tout ce temps. Alors quand Alice à eu sa vision, pourquoi es que je n’ai pas réfléchis, et que j’ai pris le premier avion pour Voltera. Demandant la mort auprès des Volturi comme délivrance. Bien sur ils me l’ont refusé, alors je n’ai pas eu le choix. Je me suis montré sous ma vrai nature mais cela n’y a rien fait, ils m’ont juste jeté au cachot, faisant de moi un prisonnier, pourquoi n’ont-ils pas voulus mettre fin à cette mascarade, à cette souffrance. Ma Bella, en voulant te sauver j’ai causé ta perte. Et maintenant devant l’éternité me voila seul à devoir supporter la vie qui coule comme un long fleuve infini...

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